 |  Sujet: Hélène T. Arkudis ~ Me and my life  Mer 9 Nov - 19:39 | |
|  Arkudis Hélène Thalia  | Informations Centrales
Bonjour, je me présente, je m'appelle Hélène Thalia Arkudis, je suis née le je ne sais pas exactement, le 10 janvier ? En tout cas c'était en -1300 à Athènes, j'ai donc 3311 ans. Je suis célibataire, et il semblerait que je fasse partie des Vieux « vingtenaires ». J'ai comme profession celle de serveuse/barmaid & comédienne. Je suis de nationalité américaine depuis un siècle. Je crois que j'ai tout dis concernant les informations générales me concernant, passons à présent à la suite si vous le voulez bien.
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Caractéristiques Parler de moi, de mon caractère, mon physique et tout ça ? OK, c'est parti !
Commençons par mon caractère. Je pense qu'on peut dire de moi que je suis sociable et fidèle en amitié. En amour aussi même si je n'ai pas pour habitude de rester longtemps avec la même personne. Pourquoi se faire souffrir en regardant une personne qu'on aime vieillir puis mourir ? C'est bien plus simple de rester le temps d'une nuit puis de partir. Même si je doit avouer que ça m'est déjà arriver de rester un long moment avec le même homme. Mis à part ça, je suis très romantique, même si je le cache, et j'aime les marques d'attention qu'on peut avoir pour moi. Je suis maladroite et je rougis facilement lorsque je suis gênée, je me suis donc entraînée à ne pas l'être. Je pense être plutôt courageuse même si ça frise l'imprudence et la stupidité de temps en temps. Je pense que je suis redevenue -ou restée- une gamine psychologiquement. Je suis presque constamment de bonne humeur et j'adore m'amuser, sortir en boîte, faire la fête et tout ça. Je peux aussi être sérieuse, concentrée et impliquée à 200% dans quelque chose. Je suis mélancolique de temps en temps, quand je repense à certaines périodes de ma longue vie et aux personnes que j'aimais. Mon crédo est « Carpe Diem » la plupart du temps.
Mon avatar ne vous suffit pas pour le physique ? Alors, je suis blonde et j'ai les yeux marrons. On me donnerait 20 ans (ce qui est normal après tout...) Je ne suis pas petite mais pas immense non plus. J'ai des formes plutôt belles et qui me suffisent de toute façon. J'entends les hommes me faire des compliments sur mon physique depuis un bout de temps donc je suis assez sure de moi, même si j'ai quelques complexes comme toutes les femmes.
Le style vestimentaire... Vous parlez de quand ? Parce qu'au fil des ans ça a bien changé et je pense avoir essayé tous les styles possibles. Mais si on parle d'en ce moment et de ces dernières années, j'ai un style plutôt neutre d'étudiante. Certains jours, je m'habille avec un jean, un débardeur et c'est bon, d'autres jours, je porte une robe plus ou moins courte avec des escarpins. D'autres encore, je porte une mini-jupe avec des bottes et un débardeur ou t-shirt.
Je vais vous rassurez : vous pouvez m'approcher ! Je n'ai pas de maladie contagieuse ou incurable. D'ailleurs, je ne tombe pas très souvent malade. Je n'ai pas non plus d'allergies connues, et après tout ce temps passé sur Terre, je pense que j'aurais eu le temps de les connaître si j'en avais.
Je parle un paquet de langue couramment. Comme le grec ancien, le latin, le français, l'anglais, le grec moderne, l'italien, l'espagnol, le japonais, le dialecte egyptien et l'arabe...
Ça vous suffit ? Non ?! Et bien, venez découvrir le reste de ma personnalité vous-même... Test de RP Je ne sais pas vraiment ce que je fais là... Je vis dans cette belle ville du Caire depuis 6 mois et la seule chose qu'y m'ait poussée à m'y installer c'est le fait que certaines choses en Égypte aient mon âge ou même plus. Je suis donc venue ici et j'ai trouvé rapidement un job de serveuse, d'ailleurs, je prends mon service dans quinze minutes. J'aime cette ville, j'aime marcher sur les bords du Nil et me rappeler mon passé. Quand je regarde la façon de vivre des hommes, je me dis qu'elle a évoluée de façon monstrueuse, avant, nous faisions attention à notre nature, nous vivions en communion avec elle, maintenant, la pollution est en train de la tuer. Je ne dis pas que je suis contre les voitures et tout le tralalala parce qu'elles sont quand même très pratiques. Je peux ne mettre que quelques heures à faire un voyage qui durait une semaine quelques siècles plus tôt. Depuis que je suis ici, on m'a proposé de jouer dans une pièce de théâtre. J'ai bien évidemment accepté et me voilà à jouer les comédiennes qui doivent travailler dans un bar restaurant pour gagner leur vie. Je sais au fond de moi même que j'en ai pas besoin et que je me trouve en possession d'un coffre avec une grosse somme d'argent mais ça me fait plaisir d'expérimenter de nouvelles façons de vivre à chaque fois que je me retrouve quelque part. J'arrivais près de mon lieu de travail, je devais commencer dans quelques instants. J'entrais par la porte de service et mettait une tenue appropriée quand une voix me fit sursauter :
- Hélène chérie, tu es enfin là ! Il y a foule ce soir et j'ai besoin de toi au bar.
Je me retournais et souriais à mon patron, c'était un vieil homme très gentil, compréhensif et qui m'avait en quelque sorte adoptée depuis que j'étais arrivée. Visiblement, il avait l'air fatigué et avait besoin de moi au bar au plus vite. J'aimais bien aller derrière le bar, en plusieurs années de débauche, j'étais devenue une pro dans l'art de faire des cocktails...
- Bonsoir Apophis, je suis prête dans deux secondes.
Il me sourit avant de repartir dans les cuisines en soupirant. J'ajustais alors ma queue de cheval pour qu'elle ne me gêne pas et je prenais la relève du barman. Une longue soirée commençait, avec des clients plus ou moins habituels, plus ou moins sympa, plus ou moins bourrés et tristes et plus ou moins dragueurs également...
   Histoire
Les villes et pays qui ont marqués ma vie dans l'ordre chronologique :
Athènes, Babylone, Syracuse, Rome, Constantinople, France, Constantinople, Florence, France, Amériques, Londres, Versailles, New York, Boston, Chicago, Washington, Espagne, Angleterre, Grèce, Allemagne, New-York, Woodstock, Londres, Aberdeen, Harvard, Tokyo, Le Caire...
Je suis née en -1300 à Athènes dans une famille fortunée et influente. C'était ce qu'on appelle aujourd'hui, l'apogée de la civilisation Mycénienne. J'avais un unique frère à qui j'étais énormément attachée même si nos liens n'étaient pas les mêmes que ceux d'une relation frère et sœur actuelle. J'ai été éduquée comme toutes les jeunes filles qui ne serviraient qu'à être mariées par leur père. Je ne connaissais rien d'autre et ça me semblait parfaitement normal vu que c'était dans notre culture. Je ne me suis jamais soulevée contre l'autorité de mon père et, de toute façon, personne n'avait d'idées « d'indépendance, d'autonomie... ». J'avais également des esclaves. Vous trouvez ça monstrueux ? Mais à l'époque c'était dans l'ordre des choses. Bref, mon père m'a mariée à un des hommes les plus importants de Mycènes. J'ai eu de la chance par rapport à certaines autres femmes, car cet homme était plutôt jeune et beau garçon et il était heureux avec moi. Des sentiments sont même apparus avec les années et j'ai eu un enfant, un fils. Tout ce dont il avait besoin et ce qu'il voulait. Je chérissais mon fils plus que ma propre vie. Puis, peu à peu, j'ai vieillis. Seulement, je gardais l'apparence de mes vingt ans. Je suis allée consulter des prêtres et j'en ai conclu que c'était un don d'Aphrodite. Mais mon entourage me regardait suspicieusement et certains disaient que les dieux étaient contre ma famille et qu'il fallait me sacrifier à Zeus. Que ma beauté me sauverait de la mort. Je pris peur car ils y pensaient de plus en plus et ils influencèrent mon époux. Je pris donc la décision de m'enfuir, abandonnant mon fils, mon mari et tous ceux que j'aimais. J'espérais secrètement que mon fils ne deviendrait pas comme moi et qu'il vivrait heureux. J'ai changé d'endroit pendant de longs moments. Je me faisais passer pour une prêtresse et je pouvais comme ça vouer un culte à Aphrodite tout en me déplaçant et en étant bien accueillie. Je suis retournée à Athènes vers -445 qui était devenue une démocratie, le système était simple et relativement juste. Après, vous pouvez y voir de la misogynie car les femmes n'avaient aucuns poids politiques mais, comme je le disais, c'était normal pour la plupart des gens. Je ne me faisais plus passer pour une prêtresse mais pour une métèque originaire de Milet. Je suis retombée amoureuse d'un homme. Malheureusement, il était un citoyen et par mon statut, je condamnais nos futurs enfants ne pas l'être. J'avais reçu des critiques et lui aussi car je n'étais pas une Athénienne et pas non plus fille de citoyen mais nous avions surmontés tout ça et nous nous étions mariés. Je lui avais donné un fils. Mon époux était important dans la ville et fut élu plusieurs fois stratège. Les écrits attestent donc de mon existence mais toute la fin de ma vie est fausse. J'ai vécu 10 ans avec mon second époux avant qu'il ne meurt pendant une bataille. Je marquais mon visage avec du maquillage pour que la tragédie ne recommence pas. À sa mort, j'ai senti qu'il fallait que je m'éloigne. J'ai donc promis à une esclave qui me ressemblait étrangement mes biens si elle finissait sa vie en se faisant passer pour moi. Elle a accepté et j'ai du dire adieu à mon fils bien-aimé. Je suis retournée le voir juste une fois mais je ne lui ai pas parlé. J'étais cependant fière de sa beauté et de l'homme qu'il était devenu. J'ai encore voyagé pendant plusieurs années avant de me « poser » à Babylone sous le règne d'Alexandre Le Grand. On parlait en grandes éloges de cet homme et je voulais voir ce qu'il en était, surtout qu'Aristote avait été son professeur, que je m'intéressais à la philosophie et que je l'avais connu lorsqu'il n'était qu'un enfant. Bref, je suis restée à cet endroit pendant quelques années avant de partir pour Syracuse, en Sicile. La ville grecque me rappelait mon monde d'origine et je dois avouer que c'était une belle période. Après être repartie et avoir voyagé, je me suis installée à Rome sous le règne de Jules César. J'ai vécu là-bas pendant plusieurs siècles. J'ai vu la république se transformer en Empire, le culte de mes dieux se faire abandonner au profit du christianisme, les hommes et les femmes se succéder, la division de l'empire Romain, les empereurs fous et la décadence de Rome. Puis, quand les barbares eurent commencé à envahir la Gaule, je suis repartie pour échouer à Constantinople 2 ans plus tard... J'aimais énormément le fait qu'ils parlaient grec comme langue principale. Bien sur, le langage avait évolué mais c'était toujours le même. Je vivais heureuse, je partais dans un autre endroit puis je revenais. J'allais dans certains autres endroits de l'empire pour disparaître le temps que tous ceux qui m'auraient connus meurent. J'allais de temps en temps jusqu'en France, comme en 1250 où je me suis installée à la cour de Louis IX, ou Saint Louis. Mais je revenais toujours à Constantinople car cette cité me tenait à cœur et le fait de pouvoir parler le grec me rendait heureuse. En 14XX, je suis allée vivre à Florence, une très belle ville d'Italie. Je voyais régulièrement des artistes pour admirer leurs travaux. Comme un certain Botticelli et De Vinci. J'avais croisé également l'artiste qui se faisait appeler Michel-Ange et qui réalisait de très importantes commandes pour le Vatican. Je trouvais toutes ces personnes très talentueuses et certaines statues me rappelaient celles que l'on faisait à Athènes ! Je faisais toujours partie de la bonne société et j'étais heureuse de pouvoir financer ces artistes. J'ai ensuite résidé quelques temps en France, à la cour de François Ier. Je suis allée aux Amériques. La découverte de ce nouveau continent était un évènement extraordinaire et magique. Je voulais le voir de mes yeux et je me suis faites passer pour une irlandaise. Je vivais dans une des premières colonies et c'était fantastique. Tout était différent. J'avais réussi à me faire emmener dans le sud de l'Amérique par un homme riche et influent où j'avais pu voir des plantations de sucre, etc... Je suis retournée à Londres en 1590. J'ai eu la chance d'être appréciée par la reine Élisabeth dès mon arrivée à la cour. J'ai pu voir de fantastiques pièces de théâtre. L'auteur s'appelait Shakespeare, j'espérais qu'il serait connu et toujours apprécié dans quelques années et mes souhaits se sont réalisés. En 1660, je me trouvais à la cour de Versailles en France. Le Roi Soleil était en pleine gloire et favorisait les arts. Le théâtre comme la danse. J'aimais bien cet endroit car, même si les coutumes et usages étaient compliquées voire spéciales par moments, la vie était relativement simple. Je m'amusais à jouer une courtisane frivole mais respectable. J'ai été très appréciée par le Roi et sa femme. Je n'étais pas en France lors de la Révolution et heureusement pour moi, j'étais en Amérique. J'y étais allée quelques années avant la déclaration de la Constitution qui s'appuyait sur la séparation des pouvoirs. J'ai vécu très longtemps aux Amériques car, le pays étant très grand, je pouvais voyager et m'installer pour quelques années sans que l'on ne me remarque. J'ai vécu à New York, Boston, j'ai été chanteuse et danseuse dans un cabaret pendant l'âge d'or de Chicago... J'ai vécu à Washington également. Les Etats-Unis étaient devenus mon pays d'adoption. Puis je suis repartie, j'ai voyagé, je suis allée en Espagne & en Angleterre, je suis même retournée en Grèce un court instant. J'ai séjourné en Allemagne puis je suis repartie. En 1917, je vivais à New-York, nous entendions des échos de la guerre et j'étais heureuse de ne pas être restée sur le « vieux continent ». A cette époque, je venais de me marier à un bel officier, nous nous aimions et je m'étais laissée prendre au piège de promesses que je ne pourrais tenir et lui non plus. Lorsqu'il du partir pour la guerre, j'étais dévastée. J'attendais tout les jours de ses nouvelles et lui écrivais le plus possible mais il ne revint pas. Je mis au monde un fils et décidais de vivre avec lui mais il mourut assez jeune de la mucoviscidose. C'est à partir de cette époque que j'ai essayé de ne plus m'attacher aux gens. J'étais toujours aux Etats-Unis lors du début de la seconde guerre mondiale et lors de l'attaque de Pearl Harbor. J'ai vu la façon dont elle a changé la pensée collective, moi-même j'aurais souhaité vengeance si j'avais connu des soldats et si je n'avais pas vu trop de guerres par le passé. Ma vie a beaucoup été marquée par les arts comme le théâtre puis la musique. En 1969, je me trouvais au festival de Woodstock. Je suivais le moment hippie et étais souvent dans des délires du aux drogues. Le festival fut quelque chose de formidable, d'incroyable, d'immense... La chanson qui m'a le plus marquée ? La reprise de The Star-Spangled Banner (l'hymne américain) par Jimi Hendrix. En 1977, je me trouvais à Londres, je trainais dans les salles de concerts qui accueillaient entre autres les Sex Pistols mais j'ai également assisté à des concerts des Rolling Stones. Puis je suis repartie, retournée aux USA. Je suis allée dans une grande université pour apprendre le métier d'avocate. J'ai travaillé quelques années et je me suis retrouvée dans la petite ville d'Aberdeen. Ça ne dira rien à une partie des gens mais c'est la ville d'où était originaire Kurt Cobain, chanteur et leader de Nirvana. Lors de la formation du groupe -qui avait alors le nom de Fecal Matter, en 1985, j'étais une des premières fans. J'ai suivi le groupe pendant presque toute son existence (je suis même devenue la petite amie de Kurt un court moment mais suis restée son amie même après notre séparation). À la mort de Kurt Cobain, j'en ai voulu à sa femme et au monde qui avait fait de lui un homme assez riche pour pouvoir s'acheter de l'héroïne et lui soumettre une trop grosse pression médiatique. Bref, j'ai exercé encore mon métier d'avocate puis je suis allée à Harvard, où j'ai étudié pour devenir professeur d'histoire et de lettre dans les universités. J'ai sorti plusieurs livres pendant cette période. J'ai étudié des textes qui parlaient d'une légende sur la vie éternelle, une légende égyptienne. J'ai donc -après avoir vécu à Tokyo pendant une dizaine d'années- été m'installer en Egypte. Je vis au Caire depuis 6 mois et je suis devenue serveuse et comédienne.
Je ne sais rien à propos de la Nefertiti Agency.
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Dernière édition par Hélène T. Arkudis le Sam 19 Nov - 17:10, édité 5 fois |
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